Poules dindons, poulets, voici une belle compilation hilarante. Mister Buzz. 1:11. Voici la façon la plus saine de prĂ©parer un cafĂ© . Mister Buzz. 1:01. PrĂ©parer un pastis gĂ©ant dans une bĂ©tonniĂšre HAHA. Mister Unpetit goodies qui ne sert pas Ă  grand chose ! Mais c'est un gros gros dĂ©lire !- - - - - - - - - - - - - - -Lien utiles :- La chaĂźne : http://www.youtube.c Voila je n'ai pas trouver ces questions lĂ  sur le forum, donc je me demande quel est la mĂ©thode a utiliser pour tuer une poule ou un poulet sans la faire souffrir un maximum. Car un bon poulet a manger ca sert a ca de temps en temps quand on a une trop grosse population. Revenir en haut: Contenu SponsorisĂ©: PostĂ© le: Aujourd’hui Ă  10:32 Sujet du message: Sion tue les hommes sans leur accord, cela fera souffrir les autres hommes, qui sauront que vieux, on les tuera, sans leur accord. Alors que les poules ne savent pas ce qui les attend. En tuant une poule pour lui Ă©viter la souffrance de mourir de vieillesse, on ne crĂ©ait pas de souffrance chez les autres poules. Lolun agriculteur qui sait pas tuer une poule viens demander conseil sur un forum informatique HFPonss - DĂ©sactivez votre Adblock sur HFR - DĂ©couper le monde Ă  coup de rasoir pour voir au cƓur du fruit, le noyau noir. 9cvU. C’est la pĂ©riode oĂč les renards vident les poulaillers. Ils doivent nourrir leurs petits, encore au terrier. Des particuliers, petits Ă©leveurs, enregistrent des pertes trĂšs importantes ces derniĂšres semaines. Ils investissent dans de nouvelles installations pour barrer la route aux rusĂ©s renards, de moins en moins la basse-cour d’Albert Michez, Ă  Erbisoeul Jurbise, c’est la dĂ©solation. Il reste quelques poules moribondes, rescapĂ©es de la derniĂšre attaque de renard. "Regardez, la petite rousse, je vais devoir l’achever. On dirait qu’elle a le cou cassĂ©, elle doit souffrir terriblement". Il est trĂšs affectĂ© par ce qui s’est passĂ©, tout rĂ©cemment. "J’ai perdu 9 poules. Il n’en a emportĂ© que deux. Et cela s’est passĂ© en plein jour, plus que probablement. Le renard est passĂ© sous la clĂŽture. Le fil est pourtant enterrĂ© Ă  vingt centimĂštres de profondeur". Ce n’est pas la premiĂšre fois qu’il subit ce type de mĂ©saventure. "Oh que non ! Cela fait 4 ans que je suis touchĂ©. Il y a trois ans, j’ai perdu 22 canards, en une nuit ! Cela m’a coĂ»tĂ© 600 euros ! C’était des canards d’une race trĂšs rare." Ses voisins reçoivent Ă©galement la visite des renards. "Tout le monde est pris, ces derniers jours ! Et le pire, c’est que le renard n’emporte mĂȘme pas les bĂȘtes. Il en tue une, deux, puis il laisse tout sur place. Et ne revient mĂȘme pas chercher les autres, un peu plus tard
 Pourtant, il est capable de traĂźner de trĂšs grosses bĂȘtes. Voyez ces grosses oies, de 13-14 kilos, il m’en a emportĂ© deux."Selon Albert, les renards vivent dans les bois aux alentours, mais aussi sur le talus de chemin de fer, tout proche. "Sur place, ils sont bien cachĂ©s, ils ont de l’espace, ils ont aussi de la nourriture grĂące Ă  tous les animaux tuĂ©s par les trains." Cela fait 42 ans qu’Albert Michez vit dans cette maison. "Je n’avais jamais eu de problĂšmes. Et voilĂ  que ça nous arrive chaque annĂ©e, dĂ©sormais ! Avec des renards de plus en plus francs, qui n’hĂ©sitent pas Ă  s’approcher pour avoir leur nourriture." Pour lui, c’est le manque de gibier qui explique la situation. "Ou parce qu’on ne chasse plus assez ? Il paraĂźt que le garde-chasse a tuĂ© une bonne vingtaine de renards, quand mĂȘme, l’an dernier". Albert est déçu, un peu choquĂ© mĂȘme par ce qu’il appelle "cette folie meurtriĂšre". Il ne baisse pas les bras pour autant. "J’ai vidĂ© mon abri de jardin, je vais installer des cloisons automatiques. Qui se lĂšvent lorsque le jour se lĂšve, et se baissent fin de journĂ©e. En espĂ©rant que ça protĂšge mes petites poules. Je ferai la mĂȘme chose pour les oies et les canards." Renards croqueurs de poules comment s'en prĂ©munir ? © Tous droits rĂ©servĂ©sDans la rĂ©gion de Leuze-en-Hainaut, Cathy a elle aussi Ă©tĂ© victime des renards, Ă  rĂ©pĂ©tition. Elle qui habite depuis 27 ans la mĂȘme maison n’avait jamais eu de problĂšmes. Elle a rĂ©cemment perdu 10 poules, 4 canards, un jars. Le renard est "passĂ©" deux fois dans le poulailler. Cathy a transformĂ© son terrain en forteresse. "Mes clĂŽtures sont rehaussĂ©es jusqu’à deux mĂštres, avec fil barbelĂ©. Je suis en train de construire un abri spĂ©cial pour mes oies qui n’aiment pas ĂȘtre enfermĂ©es. La nuit j’ai mis deux camĂ©ras et un systĂšme ultrason. Depuis, je n’ai plus vu le renard ", raconte-t-elle. Renards croqueurs de poules comment s'en prĂ©munir ? © Tous droits rĂ©servĂ©sA la Division Nature et ForĂȘt de Mons, on le confirme. Oui, les renards sont en augmentation. "C’est une augmentation gĂ©nĂ©rale, et qui se marque depuis 20 ans", prĂ©cise Damien Bauwens. "La difficultĂ© dans la sociĂ©tĂ© qu’on connaĂźt est qu’il n’y a plus de prĂ©dateurs. Le loup revient, pas encore dans la rĂ©gion de Mons. On est dans des situations de dĂ©sĂ©quilibre, qui plus est avec un animal qui s’adapte trĂšs bien. En milieu urbain, ils vont se nourrir dans les poubelles et prolifĂšrent par manque de prĂ©dateurs." Les attaques de renards semblent particuliĂšrement nombreuses, en ce moment. "C’est normal, l’activitĂ© est plus intense car les renards ont eu leurs jeunes et doivent se nourrir. C’est l’époque oĂč les poulaillers se font dĂ©vaster, il faut se prĂ©munir des renards. J’en ai moi-mĂȘme Ă©tĂ© victime. En ville aussi, on les voit dans les parcs bruxellois, ils s’adaptent trĂšs bien." Damien Bauwens recommande avant tout des mesures prĂ©ventives "rentrer ses volailles, installer des clĂŽtures, peut-ĂȘtre enterrĂ©es Ă©ventuellement Ă©lectrifiĂ©es". Des mesures plus radicales sont autorisĂ©es."On peut piĂ©ger les renards, moyennant une autorisation. C’est une espĂšce gibier chassable toute l’annĂ©e sur les territoires lĂ©gaux donc plus de 25 hectares au nord du sillon Sambre et Meuse, plus de 50 hectares au sud. Pour tirer avec une arme Ă  feu, il faut bien sĂ»r possĂ©der un permis de chasse. Dans les zones qui ne sont pas des territoires lĂ©gaux, des zones oĂč il y a des problĂšmes, on peut aussi dĂ©livrer des autorisations". Les agents de la DNF n’ont pas dans leurs missions de limiter les populations de renards. "C’est une tĂąche dĂ©volue aux gardes-chasses, qui sont mandatĂ©s par des titulaires de droits de chasse, des chasseurs. Leur job est de veiller Ă  un bon Ă©quilibre des populations car ils y trouvent aussi leur intĂ©rĂȘt en termes de protection des populations de petit gibier, qui peuvent ĂȘtre aussi victimes des renards. Mais il ne s’agit pas de tirer sur le premier renard qui passe. Si on repĂšre sur un territoire un dominant, il vaudra mieux sans doute le laisser vivre de maniĂšre Ă  ce qu’il continue d’occuper le territoire et que les nouveaux individus soient rejetĂ©s du territoire". Nous terminons notre enquĂȘte au Clos des Oliviers Ă  Jurbise, un centre de revalidation pour la faune sauvage. Ici, Daniel MarliĂšre tente de "sauver" quotidiennement des hĂ©rissons, des rapaces, du gibier. Certains sont tombĂ©s du nid, d’autres ont Ă©tĂ© renversĂ©s par une voiture, ou se sont retrouvĂ©s pris dans le collet d’un braconnier. Daniel reçoit parfois des coups de tĂ©lĂ©phone au sujet de renards ou de renardeaux. "Des gens me disent qu’ils les ont trouvĂ©s, qu’il faut les soigner". Pour ce spĂ©cialiste de la faune sauvage, c’est "niet". "Avec le vĂ©tĂ©rinaire, nous avons dĂ©cidĂ© de respecter la loi. Le renard peut ĂȘtre vecteur d’une maladie transmissible Ă  l’homme, l’échinococcose. On ne peut pas dire si le renard en est infectĂ©, lorsqu’on le voit. Donc nous avons dĂ©cidĂ© de respecter la loi, et de ne pas prendre de risque. Je comprends les personnes qui disent que c’est un bel animal. C’est vrai. Mais penseraient-elles toujours la mĂȘme chose si elles dĂ©couvraient, un beau matin, en allant chercher des Ɠufs au poulailler, qu’un renard a tuĂ© toute la basse-cour ?"Renards croqueurs de poules comment s'en prĂ©munir ? © Tous droits rĂ©servĂ©sIl insiste malgrĂ© tout sur l’utilitĂ© des renards. "C’est un animal nĂ©cessaire, parce qu’il rĂ©gule tous les animaux qui sont faibles, malades, tous les mustĂ©lidĂ©s, souris, rats, etc." Le problĂšme tient au nombre de renards qui se promĂšnent aujourd’hui dans la nature. "Il y en a trop. Je me souviens quand mon grand-pĂšre, qui Ă©tait garde-chasse, tirait un renard, la presse venait le voir. C’était exceptionnel. Maintenant, c’est devenu trĂšs commun. Et l’homme a une grande responsabilitĂ© dans la prolifĂ©ration des renards. Il y a beaucoup de dĂ©chets, de pollution, de nourriture accessible dans la nature. A Bruxelles beaucoup de renards font les poubelles. La nature est trĂšs bien faite, quand il y a beaucoup Ă  manger, il y a beaucoup de monde. On jette beaucoup de nourriture donc il a de quoi manger. Une autre cause est que l’on relĂąche beaucoup de gibier dans nos forĂȘts des faisans, des perdreaux. Ce gibier se fait rapidement attraper par le renard. Ensuite, le renard continue Ă  chercher du gibier car il doit manger tous les jours. S’il ne trouve pas sur les champs il s’approche et va faire des visites dans les poulaillers".PARTAGERArticles recommandĂ©s pour vous AdrienWebmasterNombre de messages 42663Age 35Localisation Haute Loire 43Date d'inscription 07/02/2005Le soucis c'est que mĂȘme avec 20 mĂštres, l'angle de 30° de tes voisins n'est plus le mĂȘme... slugalexCerfNombre de messages 2167Age 34Localisation creuse 23Date d'inscription 18/06/2011cela me ramĂšne aussi Ă  la situation je m'explique , certaines chasse sont vaste ou des Ă©quipes trĂšs petites et les postes sont trĂšs Ă©loigner les uns des autres ; ce qui fait que les rĂšgles de sĂ©curitĂ© peuvent ĂȘtre sur sa propre dĂ©cision , enfreintes .il m'est arrivĂ© a plusieurs reprise de devoir servir au couteau des chevreuils ,ce qui ne m'a jamais dĂ©ranger en aucunes façons , et toujours seul sauf une fois en traque et trĂšs Ă©loigner de mes collĂšgues ; lĂ  façon dont nous Ă©tions poster excluait totalement le risque de tir non fichant du au relief ; ce qui m'a permis de quittĂ© librement le poste pour mettre fin au souffrance de ces animaux .dans une autre chasse ma 1Ăšre la complicitĂ© trĂšs familiale faisait que si une bĂȘte Ă©tait a servir , on prĂ©venais et l'un d'entre nous aller servir pendant que les autres attendent .en revanche , aujourd'hui je chasse dans une Ă©quipe d'une 30Ăšne de gars et les conditions ne permettent pas de faire ce que l'on veut .conclusion tir en sĂ©curitĂ© ou possibilitĂ© su a l'avance de se dĂ©placer pour aller servir Ă  l'arme blanche ou respecter les consigne de sĂ©curitĂ© et tenter de faire venir au plus vite un traqueur . dĂ©sormais tu sais comment agir en tenant compte des possibilitĂ© du moment .je ne vois pas pourquoi le dĂ©bat irai plus loin .voilĂ  mon point de vue ._________________Chasser, pĂȘcher, de messages 5443Age 36Localisation Jura Date d'inscription 05/10/2005_________________"Comtois, rends-toi ! Nenni, ma foi !""Avec un bon valet de limier, trois ou quatre bons chiens français griffons bien braves, de bonnes jambes et un bon fusil, vous pouvez facilement rĂ©ussir; mais chasser un sanglier pour le prendre, c'est une tout autre affaire."r3ptil69CerfNombre de messages 2740Age 36Localisation Ain / Rhone / Chasse de partout ;-Date d'inscription 17/09/2012 La mĂȘme!!!+1[EDIT]Sinon pour Ă©viter de blessĂ© lors de ton tir tu peu tirer avec ça ====> Un bon 12,7Normalement mĂȘme si tu lui attrape le cul, il devrai pas souffrir longtemps... alexisdu12450PalombeNombre de messages 380Age 26Localisation aveyronDate d'inscription 06/09/2012Ah sa c'est sur qu'avec sa les gros gibiers n'ont qu'a bien se +1^^J' bonne chasse a tous!!!!!_________________On comprendra le rituel magique de la chasse lorsque nous comprendrons que tuer c'est aussi laisser de messages 2740Age 36Localisation Ain / Rhone / Chasse de partout ;-Date d'inscription 17/09/2012 alexisdu12450 a Ă©critAh sa c'est sur qu'avec sa les gros gibiers n'ont qu'a bien se +1^^J' bonne chasse a tous!!!!! Sujets similairesComment achevez-vous un animal blessĂ© Peut on se dĂ©placer pour achever un chevreuil blĂ©ssĂ© ?comment acheter un jagd terrier sans ce faire avoirChevreuil Comment le gĂȘrer vous ??Comment nettoyer un bois de chevreuil ?Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum On ne le rĂ©alise pas toujours mais, pour manger une omelette, il faut d’abord tuer des poules
 Eh oui, c’est ainsi que l’industrie agroalimentaire optimise la production d’oeufs
 Heureusement, une toute nouvelle mĂ©thode est en train de voir le jour et il ne tient qu’à nous de lui donner un petit coup de pouce. Explications ! Source Shutterstock L’abattage des poulets commence trĂšs vite, Ă  la naissance mĂȘme puisque seules les femelles pondront des oeufs, les poussins mĂąles sont Ă©liminĂ©s au premier jour. Quant aux survivantes, alors qu’elles pourraient vivre 10 ans, elles sont tuĂ©es dĂšs l’ñge de 18 mois, car considĂ©rĂ©es moins rentables
 Chaque annĂ©e, en France, 100 millions de poules sont ainsi envoyĂ©es Ă  l’abattoir aprĂšs une courte carriĂšre de pondeuse. C’est pour changer la donne que Fabien, Élodie et SĂ©bastien ont imaginĂ© Poulehouse, un systĂšme tout Ă  fait diffĂ©rent. Source Shutterstock Leur idĂ©e ? Vendre des oeufs bios pondus par des poules qui ne seront jamais tuĂ©es
 mais envoyĂ©es dans un refuge Ă  la fin de leur carriĂšre ! PlutĂŽt malin, non ? Offrir une retraite douce et mĂ©ritĂ©e aux poules qui nous ont nourris plutĂŽt que de leur tordre le cou
 ça se tient ! Reste le cas du sexage des poussins. À terme, pour que ses producteurs partenaires n’aient plus Ă  se dĂ©barrasser des mĂąles, Poulehouse veut ĂȘtre “le premier” Ă  expĂ©rimenter le sexage in ovo “Cela consiste Ă  identifier prĂ©cocement le sexe dans l’Ɠuf afin de ne faire venir Ă  la vie que les femelles.” Source Shutterstock Le systĂšme devrait ĂȘtre opĂ©rationnel dĂšs ce printemps mais, pour se dĂ©velopper plus vite, Poulehouse vient de lancer une campagne de financement participatif sur internet. Si le projet vous intĂ©resse, vous trouverez plus d’infos ici. “Poulehouse est née du rêve d’une petite fille d’un des fondateurs de sauver les poules d’une mort certaine due uniquement à leur baisse de productivité. Poulehouse ne veut pas révolutionner le marché de l’Ɠuf mais l’adapter aux prises de conscience actuelles sur la souffrance animale, en s’associant avec des éleveurs de poules pondeuses BIO.” Un concept novateur, malin, et qui va dans le bon sens. Bien jouĂ©. 16 mai 2017 2 16 /05 /mai /2017 2040 la viande cultivĂ©e dans nos assiettes d'ici 2021 Ca avance doucement mais ca avance, de la viande de poulet Ă  partir de cellules premiers essais dĂ©gustatifs datent de 2013 Ă  Londres ou le premier burger a base de viande artificielle fut souffrance animale Ă  la base de cette d'essai ont Ă©tĂ© fait en Ă©prouvettes en premier sur des cellules souches sur le boeuf .Maintenant sur la volaille, le poulet, le canard.. lorsque nous connaissons l'abattage de millions de poulets au quotidienne ne serait que pour les facefood, ca serait prions pour que cet essor continue. Aux Ă©tats unis le poulet et la premiĂšre viande consommĂ©, avec un taux de 40 kgs par personne par an!cela laisse rĂȘveur..La StĂ© "Menphis Meat" aux Etats unis a mis au point cette viande dans ses le boeuf avait rencontrĂ© un franc succĂšs mais la chaire du poulet semblait plus dĂ©licate et ils y sont dĂ©gustations Ă  l'aveugle sont prometteuses et d'un avis gĂ©nĂ©ral mĂȘme si la texture n'est pas encore idĂ©al pour le poulet le gout y est complĂštement et pour le boeuf c'est assez entrons dans une Ăšre ou n'importe comment il n'y a plus le choix et mĂȘme si notre changement de nourriture donc de consommation change pour des raisons qui ne seront pas celle d' Ă©viter de la souffrance animale ne nous leurrons pas, elle sera faite pour des raisons Ă©conomique pour pouvoir continuer Ă  pouvoir nourrir les hommes..Aujourd hui nourrir le bĂ©tail coĂ»te trop cher en eau et la nourriture des animaux nourrirait Ă  elle seule la crevons des OGM et des maladies qui se dĂ©veloppent sans parler de ces camps de concentration que sont beaucoup d'Ă©levages et ne parlons pas des mĂ©thodes d'abattages digne de l'inquisition..Au moins nous pouvons espĂ©rer que la viande issue d'Ă©prouvettes rĂ©pondent Ă  des critĂšres Ă©thiques ou l'homme ne tue plus pour se nourrir et ou la transparence cette fois de la source au consommateur ne posera aucun les VĂ©gan terminĂ© le Seitant ou autres substituts, se nourrir sans se culpabiliser. Des organisme pour le dĂ©fense animale telle que "PĂ©ta" approuve ce nouvel Ă©lan en faveur des prix est encore un frein majeur et cela devrait prendre vraiment de l' essor vers 2021 et pouvoir rentrer en compĂ©tition avec les prix de vraies aussi a convaincre les mentalitĂ©s que le cĂŽtĂ© artificiel de cette viande ne sera que bĂ©nĂ©fice.. Ce jour la je gage que le pari sera gagnĂ©...Patricia Lady Galga D’un cĂŽtĂ©, 88 % des Français veulent voir les animaux d’élevage mieux traitĂ©s. De l’autre, plus d’un milliard d’animaux terrestres sont exploitĂ©s dans des conditions d’existence trĂšs difficiles et tuĂ©s chaque annĂ©e en France pour satisfaire Ă  la demande en viande, Ɠufs et laits. C’est le paradoxe de la viande », dĂ©crit par de nombreux chercheurs. Romain Espinosa, Ă©conomiste de la condition animale et chercheur au CNRS, lui consacre un livre Comment sauver les animaux ? Une Ă©conomie de la condition animale Ed. PUF, sorti en Espinosa, Ă©conomiste de la condition animale. - DRUn livre qui entre en rĂ©sonance avec l’actualitĂ©, alors que la Commission europĂ©enne vient de s’engager Ă  prĂ©senter, d’ici Ă  2023, une proposition lĂ©gislative visant Ă  interdire l’élevage en cage dans l’UE, l’un des symboles de l’élevage intensif, et que Julien Denormandie, le ministre de l’Agriculture, a annoncĂ© dimanche l’interdiction du broyage des poussins mĂąles et la castration Ă  vif des porcelets Ă  partir de un tel Ă©cart entre notre souci des animaux et la maniĂšre dont nous les exploitons ? Comment faire advenir une sociĂ©tĂ© oĂč l’exploitation animale serait l’exception, et non plus la norme ? Romain Espinosa rĂ©pond Ă  20 les animaux d’élevage doivent-ils ĂȘtre la prioritĂ© du combat pour le bien-ĂȘtre animal ?Sans nĂ©gliger les abandons [ par an] et les cas de maltraitance, les 60 millions d’animaux de compagnie en France sont majoritairement bien traitĂ©s par leurs propriĂ©taires et bĂ©nĂ©ficient d’un cadre lĂ©gislatif protecteur. Des lois, en France et en Europe, encadrent Ă©galement l’utilisation des animaux en laboratoire, mĂȘme si leur sort n’est pas enviable. Deux Ă  quatre millions d’animaux sont concernĂ©s en les animaux d’élevage, nous sommes sur de tout autres Ă©chelles. DĂ©jĂ  de par leur nombre. Trois millions d’animaux sont tuĂ©s chaque jour en France pour notre consommation de viande, d’Ɠufs et de lait, soit 1 milliard par an. Mais aussi de par les conditions qu’ils subissent et le peu de protection dont ils bĂ©nĂ©ficient. Un grand nombre de ces animaux vivent dans des systĂšmes d’élevage intensif, dans lesquels ils peuvent ne jamais voir la lumiĂšre du jour, passent une grande partie de leur existence en cage et souffrent de graves atteintes Ă  leurs besoins perdu peu Ă  peu conscience, en France, du sort rĂ©servĂ© aux animaux d’élevage ?DĂšs le XIXe siĂšcle, la souffrance animale dans l’élevage devient peu Ă  peu cachĂ©e. Les abattoirs sont rĂ©installĂ©s en dehors des villes. Il y a aussi la loi Grammont, votĂ©e en 1850. C’est la premiĂšre loi importante en matiĂšre de protection animale dans notre systĂšme juridique moderne. Mais elle n’aura pour pĂ©rimĂštre effectif que les violences faites en public, avec l’idĂ©e de protĂ©ger la sensibilitĂ© humaine et non rĂ©ellement celle des animaux. Cette perte de contact avec les animaux d’élevage s’accĂ©lĂšre encore aprĂšs la Seconde Guerre mondiale. On tombe alors dans un processus d’industrialisation de la production de viande, dans lequel les animaux sont rĂ©duits Ă  des biens intermĂ©diaires. Nous faisons mĂȘme de la sĂ©lection gĂ©nĂ©tique des animaux d’élevage, pour qu’ils soient plus productifs ou grossissent plus vite. Et tout cela se fait derriĂšre des murs que nous avons rarement, si ce n’est jamais, l’occasion de qui est le plus problĂ©matique le nombre d’animaux tuĂ©s chaque annĂ©e pour leur viande ou la façon dont ils sont Ă©levĂ©s et abattus ?Les deux sont intrinsĂšquement liĂ©s. Nous avons aujourd’hui une telle demande en viande, en Ɠufs, en laits, qu’on est obligĂ© d’avoir un trĂšs grand nombre d’animaux d’élevage. Cela conduit Ă  mettre en place des processus industriels dans lesquels il est impossible de traiter humainement chaque animal. C’est pourquoi la diminution de la consommation de viande est l’un des enjeux principaux. On enlĂšve alors de la pression sur les systĂšmes d’élevage. Autrement dit, on permet d’élever moins d’animaux, d’en abattre moins, et donc, Ă  chaque fois, de le faire baisse rĂ©guliĂšre de la consommation de viande en France [- 12 % en dix ans] est-elle le signe d’une prise de conscience croissante de la nĂ©cessitĂ© d’amĂ©liorer la condition des animaux d’élevage ?La proportion de vĂ©gĂ©tariens et de vĂ©ganes reste stable en France. Entre 2 et 3 %. Celle des flexitariens – ces personnes qui n’arrivent pas tout Ă  fait Ă  se passer de viande mais en rĂ©duisent fortement la consommation –, elle, est en forte croissance 39 % des Français et Françaises se dĂ©finissent comme tels. L’essor du flexitarisme explique donc en grande partie la baisse de la consommation de viande en positif, mais ce mouvement, largement repris d’ailleurs par le marketing de l’industrie de la viande, a ses limites. Parce qu’il affirme vouloir rĂ©duire sa consommation de viande, le flexitarien se crĂ©e notamment un crĂ©dit moral vis-Ă -vis du reste de la population qui mange davantage de viande. Ce petit pas lui donne une bonne image de lui-mĂȘme, ce qui lĂ©gitimerait le reste de sa consommation de viande. On est dans un cas de licence moral », l’un des biais cognitifs qui explique ce paradoxe de la maniĂšre gĂ©nĂ©rale, miser seulement sur le fait que des individus se dĂ©cident Ă  baisser leur consommation de viande ne suffira pas Ă  mettre un terme Ă  l’exploitation animale telle que nous la connaissons aujourd’hui. On se heurtera trĂšs vite Ă  un plafond. Il faut aussi des actions collectives, des politiques publiques les biais que vous que vous dĂ©crivez, il y a celui de l’ignorance sincĂšre »  Est-elle encore possible quand des associations comme L214 publient trĂšs rĂ©guliĂšrement des vidĂ©os sur les souffrances infligĂ©es aux animaux dans des Ă©levages ?Oui, cette ignorance sincĂšre » marche encore en partie. MĂȘme s’il y a une prise de conscience indĂ©niable de la souffrance animale dans les Ă©levages, on ne sait pas encore toujours Ă  quel point cela peut aller mal. Alors que je consacre mes journĂ©es Ă  ce sujet, je dĂ©couvre moi-mĂȘme rĂ©guliĂšrement de nouvelles formes de maltraitances. Surtout, on n’a pas conscience du nombre d’animaux qui sont dans des systĂšmes d’élevages d’intensifs. C’est le cas de 95 % des porcs par exemple, 80 % des poulets, 99 % des lapins
Dissonance cognitive, systĂšme 1/systĂšme2, rĂ©actance, l’apprentissage social
 Vous listez de nombreux autres facteurs pouvant expliquer ce paradoxe de la viande. Peut-on les classer par importance ?Il est compliquĂ© de les hiĂ©rarchiser. Sans doute que la dissonance cognitive joue un rĂŽle important. On peut la dĂ©finir comme le fait de rejeter l’information lorsqu’elle ne nous plaĂźt pas ou remet en question nos habitudes. Typiquement lorsqu’on se dit que les conditions d’élevage ne doivent pas ĂȘtre aussi terribles qu’on a pu l’entendre. Mais tous les autres phĂ©nomĂšnes jouent aussi un rĂŽle Ă  des moments rĂ©actance, par exemple, peut intervenir lorsque vous entendez un militant de la cause animale prĂ©coniser de manger moins de viande et que vous y voyez une menace Ă  votre libertĂ©, vous donnant l’envie de faire l’inverse. Autre situation vous ĂȘtes Ă  un repas de famille oĂč tout le monde mande de la viande
 Vous allez faire de mĂȘme sans vous poser de questions. On est dans l’apprentissage social. Ce sont aussi nos courses alimentaires que nous faisons en mode automatique. Nous mobilisons alors le systĂšme 1 de notre pensĂ©e, sans que ce dernier juge bon de convoquer le systĂšme 2, celui de la logique consciente, contrĂŽlĂ©e, dĂ©libĂ©rĂ©e
 La combinaison de tous ces phĂ©nomĂšnes fait que beaucoup ont du mal Ă  modifier leur consommation de de la Commission europĂ©enne Ă  lĂ©gifĂ©rer pour interdire l’élevage en cage dans l’UE pourrait-il permettre de faire un bond sur la condition animale ?Ce serait une mesure historique, avec un impact considĂ©rable. Les ONG Ă©valuent Ă  plus de 300 millions le nombre d’animaux qui passent, si ce n’est toute, du moins une partie importante de leur vie en cage, dans des Ă©levages europĂ©ens, au moment oĂč nous nous parlons. Toutefois, le conditionnel reste de mise. Il faudra voir de quelle façon les discussions vont s’engager entre les Etats et comment cette proposition s’ France a dĂ©jĂ  tout fait pour sortir le bien-ĂȘtre animal de la nĂ©gociation autour la future PAC, et il faut s’attendre Ă  ce qu’elle pĂšse de tout son poids contre cette proposition. L’État est trĂšs loin aujourd’hui de jouer le rĂŽle qu’il pourrait avoir. Le poids colossal des lobbies et des intĂ©rĂȘts financiers de l’industrie de la viande y est pour beaucoup. Il ne s’est ainsi pratiquement rien passĂ© pendant le quinquennat sur ce sujet. La proposition de loi du dĂ©putĂ© CĂ©dric Villani, qui visait la fin progressive des Ă©levages intensifs et en cages, n'a pas Ă©tĂ© mise au vote Ă  l'AssemblĂ©e nationale. Celle de la sĂ©natrice Esther Benbassa, sur l’élevage Ă©thique, a Ă©tĂ© rejetĂ©e par le SĂ©nat. Quant Ă  la proposition de loi de la majoritĂ© prĂ©sidentielle sur la maltraitance animale, tous les amendements concernant l’élevage ont Ă©tĂ© rejetĂ©s au motif qu’ils Ă©taient hors sujet. L’exception est l'interdiction de l'Ă©levage de visons, mais qui ne reprĂ©sentent qu’une part trĂšs faible des animaux tuĂ©s tous les ans, et qui a Ă©tĂ© actĂ©e surtout dans le but de prĂ©venir des annonces de Julien Denormandie [sur les poussins et les porcelets], dimanche, pourraient constituer une avancĂ©e notable. Mais il faudra ĂȘtre attentif Ă  l’application, qui devrait ĂȘtre progressive Ă  partir de 2022, surtout en ce qui concerne les moyens mis en place pour les filliĂšres et l’ñge des embryons pour les Ɠufs auquel on dĂ©termine le sexe des substituts vĂ©gĂ©taux et la viande de culture sont-ils la solution la plus prometteuse pour en finir avec l’exploitation animale en Ă©levage ?Depuis des annĂ©es, on nous recommande de manger moins gras, moins salĂ©, moins sucrĂ©. Pourtant, nous continuons Ă  frĂ©quenter assidĂ»ment les fast-foods. Au bout d’un moment, on peut se dire que l’enjeu est de travailler Ă  ce que la restauration rapide propose une alimentation plus amĂ©liorer le bien-ĂȘtre des animaux d’élevage, c’est un peu la mĂȘme chose. On peut agir soit sur la demande, soit sur l’offre. On essaie depuis longtemps d’agir sur le premier volet, avec l’impression d’atteindre un plafond, comme en tĂ©moigne la proportion stable du nombre de vĂ©gĂ©tariens et de vĂ©gans. L’essor des simili-carnĂ© [des produits Ă  base de protĂ©ines vĂ©gĂ©tales dont l’aspect, le parfum, la texture et la saveur sont trĂšs proches de la viande] et de la viande cultivĂ©e [dĂ©veloppĂ©e en laboratoire Ă  partir de cellules souches] permet de travailler sur l’offre. La promesse est que les consommateurs n’aient plus tant Ă  changer leurs habitudes, puisqu’ils pourront dĂ©sormais s’orienter vers ses substituts qui leur procurent les mĂȘmes plaisirs gustatifs, mais sans engendrer de souffrance animale.

comment tuer une poule sans souffrance